Stoumont entrée du village mardi 19 décembre 8h45. Les SS et les parachutistes Allemands attaque sur la droite de la photo on voit les fumées du Panthère 225 de Prahm mis hors de combats par un canon antiaérien de 90mm. Au pied de la haie 2 paras Allemands protègent et tentent de soigner un homme d’équipage du char détruit, celui-ci ayant été blessé lors du coup au but. A gauche un des sept Marck IV ayant traversé le pont de Stavelot.
Très belle photo prise à la villa Robinson, Les « fallschirmjäger » paras Allemands, sont mélangés avec les grenadiers du 1 panzer SS « Leibstandard AH » pendant l’attaque du village.
A l’avant plan le commandant du régiment de Panthère ‘Werner Poetschke, guerrier aguerrit, va s’emparer du « panzerfaust », arme antichar, en bas de l’image. Armé du blindicide il va se rendre à l’avant de la colonne de chars, le premiers Panther a été réduis en tas de ferraille fumantes, les autres blindés refusent d’avancer. Poetschke va menacer le char de Knappich (le 221) qui se retrouve en tête « si tu n’avance pas, je t’envois en enfer ». Sur ces paroles de viril encouragement l’attaque se poursuit. Les SS étaient très durs, même entre eux, lors de la retraite vers Brume les soldats, épuisés qui ne pouvaient plus avancer étaient achevés d’une balle dans la tête.
Un fallschirmjäger vérifie le bon fonctionnement du téléphone de campagne de la jeep capturée. Elle fonctionne, la victoire les rend de bonne humeur. « Hello Joe, reste où tu es, on arrive »
Le sinistre grincement d’engins sur chenille se rapproche. Si il s’agit d’un half track Allemand, à condition de tirer le premier, pas de problème il sera transformé en chaleur et lumière. Par contre si c’est un grand fauve qui sort du brouillard, l’épais blindage incliné du Panthère le rend invulnérable, seul un « lucky shoot » dans la chenille peut l’immobiliser. « Nous doublerons le coup et puis on se casse vite fait » Nos deux GI’s ont raison l’utilisation du bazooka se fait à courte distance, se qui réduit singulièrement leur espérance de vie.
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